Usbek & Rica – Le no-code, nouveau sésame pour les non-initiés à la programmation ?

Dans la série Devs d’Alex Garland, auteur et réalisateur de Ex Machina et Annihilation, des génies de la programmation bâtissent un ordinateur quantique capable de recréer le passé et prédire le futur. Le no-code va-t-il rendre ces super héros de l’informatique obsolètes ? Sans doute pas. Ce terme décrit de nouvelles solutions qui permettent à n’importe qui de créer son site Web ou son appli mobile en assemblant des éléments graphiques. Ces outils simples à utiliser après un apprentissage rapide représentent une alternative jusque-là inconnue aux formations de codage qui fleurissent depuis quelques années, comme l’école 42 de Xavier Niel ou Simplon.co pour les personnes éloignées de l’emploi.

https://usbeketrica.com/fr/article/le-no-code-nouveau-sesame-pour-les-non-inities-a-la-programmation

Omniprésent, léger, facile à utiliser, c’est, c’est … | plerudulier

Je n’arrive pas à croire que pendant toutes ces années durant lesquelles j’ai tenu ce blog je n’ai pas écrit une fois à propos de TiddlyWiki. En un mot c’est une prise de note sur le web non linéaire… ce qui ne signifie pas grand chose à beaucoup je suppose. Il n’y a pas grand intérêt à ce que je copie et que je colle ici une description de ce qu’il fait, n’est-ce pas ? Ça fait plus sens d’expliquer de ce qu’il fait pour moi et comment je l’utilise.

via Ubiquitous, light, easy to operate, it’s, it’s … | Omniprésent, léger, facile à utiliser, c’est, c’est … | plerudulier.

Wikipedia: qui sont ces encyclopédistes à la 2.0 [lexpansion.lexpress.f]

Qui sont ces milliers de wikipédiens français, contributeurs de “l’encyclopédie libre” lancée en 2001 et devenue l’un des sites cultes de la Toile? Ils forment une fourmilière de bénévoles, passionnés, cultivés et parfois militants. Visite d’une étrange tribu avec ses lois et ses clans, ses rites et ses querelles.

[…]

Intégralement financée par les dons, l’encyclopédie, soutenue juridiquement et techniquement par la fondation américaine Wikimedia, a levé, à la mi-2013, 50 millions de dollars, tous pays confondus. Mais, en réalité, c’est bien grâce à son poumon de contributeurs bénévoles qui l’alimente au quotidien que Wikipédia est si vivante. Environ 70000 rédacteurs réguliers dans 280 langues, dont 5000 dans la version francophone. Une étrange tribu qui, au fil des années, a mis en place ses propres règles de fonctionnement, et son propre système de valeurs.

via Wikipedia: encyclopédistes 2.0 [lexpansion.lexpress.f].

Pierre-Yves Oudeyer (Inria) : « modéliser l’apprentissage d’un robot peut éclairer le fonctionnement de l’être humain » [lesechos.fr]

Pourquoi les sociétés asiatiques semblent-elles plus en avance dans l’acceptation de ces robots ?

C’est tout un ensemble de raisons culturelles, religieuses, historiques, cosmogoniques avec comme au Japon ou en Corée, une conception différente de l’artifice et du rapport à la nature. A l’inverse du monde occidental, les asiatiques ne se perçoivent pas comme étant au sommet d’une pyramide avec une séparation très nette avec le reste du monde vivant, mais au contraire comme faisant partie d’un réseau complexe intégrant même les objets. Les Japonais qui vouent un culte à la nature ont par exemple l’habitude d’accrocher dans les rues des petits bouts de plastique pour célébrer l’automne et la chute des feuilles des arbres. Dans leurs petits jardins, ils représentent la nature en miniature avec des artifices cachés. Pour les roboticiens japonais, un robot est un hommage à la nature. Dans la littérature ou le cinéma asiatique, le robot arrive pour sauver le monde alors qu’en occident, il génère rapidement des problèmes.

via Pierre-Yves Oudeyer (Inria) : « Les robots vont avoir des impacts sociétaux énormes », Interview.

L’open source, clef d’un monde plus équitable? [L’Express]

Et si on appliquait le principe de Wikipédia à la création d\’objets et de projets qui changent le monde? Car une conception libre et ouverte à tous permet d\’agréger autour de soi une communauté de contributeurs qui apportent leur pierre à un édifice dont chacun peut bénéficier.

C\’est au volant d\’une voiture de sport, en 2008, que l\’entrepreneur américain Joe Justice prend conscience de la quantité de pétrole qu\’il envoie dans l\’atmosphère. En 2010, il profite d\’un concours du Progressive Insurance X-Prize pour imaginer un véhicule consommant peu d\’essence et dont l\’ensemble des composants est modulable à souhait. Après quelque temps passé en solo sur le projet, il partage l\’idée sur son blog et reçoit des messages du monde entier.

via L’open source, clef d’un monde plus équitable? – L’Express.

Ces agriculteurs et ingénieurs qui veulent libérer les machines – Basta !

Ils fabriquent des machines libres de droits, sans brevet. Des engins à construire soi-même, sorte de meccano géant, écologique et à moindre coût. Pour bâtir des maisons, produire de l’énergie, faire cuire des aliments, extraire des matériaux ou cultiver la terre. De quoi construire un village. Ou une civilisation. Leur objectif : éditer plans et modes d’emploi, construire des prototypes, expérimenter, partager et diffuser à tous, pour faire vivre cette révolution industrielle d’un nouveau genre. Des États-Unis à l’Isère, bienvenue dans l’univers des pionniers de « l’écologie open source ».

via Ces agriculteurs et ingénieurs qui veulent libérer les machines – Basta !.

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